vendredi 17 avril 2009

Vincennes, Saint-Mandé, Fontenay-sous-Bois : "nos" maires sont-ils réceptifs aux initiatives citoyennes ?



Il y a quelques semaines, je m’interrogeais sur la signification d’un sondage aux résultats décevants concernant la prestation du PS comme premier parti d’opposition. (Voir mon
post du dimanche 15 mars.)

Aidé par les échanges que j'ai pu avoir depuis de nombreux mois avec des gens de sensibilités politiques très diverses, j'y voyais le reflet d’
une exigence accrue de la part de nos concitoyens vis-à-vis des responsables politiques en général. Des responsables dont le travail est plus que jamais pris en compte dans ses différentes dimensions, et dont on évalue avec une vigilance croissante la présence dans l'espace public. C'est-à-dire la capacité d’écoute et d(e ré)action au sein de celui-ci.

En cause notamment : la capacité à tisser, dans la durée, un lien de confiance et d'efficacité avec nos concitoyens. Avec, en termes de moyens et de pratiques, quelques pistes évidentes : réceptivité, réactivité, disponibilité, ce qui passe naturellement - entre autres - par une pratique plus stricte du non-cumul des mandats.

Les hasards du calendrier politique font que,
au cours des derniers mois, j'ai pu en trois occasions me faire une idée (parfois une première idée) de la réceptivité, de la réactivité et de la disponibilité des trois maires de notre circonscription face aux inquiétudes de leurs concitoyens.

Hasard toujours ? Ces jours-ci, l'actualité locale ou nationale entre en résonance avec ces expériences dont "notre" espace public a été pour moi le théâtre. Dans les jours à venir, je vous propose donc une sorte de tour d’horizon, à la lumière de ces témoignages d'un citoyen ordinaire.

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